Deux cent vingt huit ans déjà… Entre temps, la France à changé quatorze fois de constitution. Sans doute, se qu’il appel la stabilité républicaine ! On ne s’étonne donc pas de voir le nombre de jeunes recouvrant leurs origines augmenter, face à un avenir incertain plutôt certainement sombre (GPA, PMA, EUTHANASIE, RETRAITE, MARIAGE POUR TOUS, DESTITUTION DES TITRE DE PÈRE ET MERE…) Commémorer et agir pour le courage de nos ancêtre et de nos roys combattants l’hydre révolutionnaire n’est-ce pas un bon moyen de retrouver les valeurs traditionnelles qui ont fait la France et que les vendéens on défendus au péril de leurs vies, au pris de leur sang, trop de sang… Comme eux, comme les chouans, comme les enfants de Budapest, notre devoir est de combattre tout ce qui est révolutionnaire car, comme l’écrivis Joseph de Maistre, « La contre-révolution ne seras pas une révolution contraire mais le contraire d’une

 

révolution ». Nous nous devons d’avoir cet esprit combatif et laisser au inévitable courtisant les ronds de jambes et les courbettes. Formons nos idées royalistes dans le rang de la jeunesse. France de demain, pour redonner à la France sont esprit naturel, nous ne devons pas sombrer dans un intellectualisme stérile : l’action doit succéder à la formation ; l’avenir de la France en dépend ! Il s’agit pas de répondre aux provocations policières ni d’aller frapper la « chenille républicaine » mais tout simplement de mettre en place une action militante efficace pour former une assise royaliste solide capable de saisir une opportunité et de savoir l’exploiter « Ce ne peut être qu’une aventure » disait Bernanos, peut-être même l’une des plus passionnante du XXIème siècle. Nous n’avons face à nous que des idéologies défaillantes, des idéaux de pacotilles qui n’en finissent pas de décevoir. Après deux siècles de république, la monarchie apparait toujours aux yeux

de beaucoup une idée nouvelle et c’est à nous, qu’appartient la lourde et néanmoins charge de la faire connaitre.

 

Le Président