Chronique : Sénilité et dégénérescence de l’Occident

À l’image des États-Unis, l’Occident tout entier est frappé de plein fouet par sa propre décadence. Joe Biden étant l’exemple et la définition de la sénilité, et les wokes eux représentant la folie et les conséquences de la dégénérescence occidentale.

Nous constatons depuis des décennies une perte de vitalité et une hystérie généralisée en Occident, coïncidant avec la déchristianisation de celui-ci. Ce qui a eu pour conséquence de voir des idéologies mortifères arriver et contaminer de nombreux corps sociaux. Quelles sont les causes et les conséquences ? Comment l’occident est-il passé de la quasi-perfection, respectée, copié et crains par le reste du monde, à un asile psychiatrique ? Serait-ce que le constat d’un réactionnaire dépassé par la modernité ou devons réellement s’inquiéter des mots qui nous accablent ?

Introduction

Commençons par le début, comme nous le savons l’occident est un bloc civilisationnel qui n’a cessé à travers le temps d’éclairer son époque grâce à sa richesse culturelle et civilisationnelle. Ayant pris différentes formes à travers le temps, il a toujours su s’adapter et rebondir suite a de grande crise et renaître avec un renouveau toujours fleurissant. Héritière de la civilisation gréco-romaine, l’Occident est devenu chrétienne à la chute de l’empire romain. Il se définit par la sagesse des Grecs, la vision étatique romaine, et la morale chrétienne.

Conséquence de la sénilité et de la dégénérescence occidentale

Les conséquences sont diverses, variées et plurifactorielles. La sénilité occidentale s'éprouve à l’échelle des différentes institutions, mais également au niveau de la sociologie des différentes nations qui le compose. Elle se remarque par un vieillissement de la population toujours plus importante d’année en année, un taux de fécondité de plus en plus faible, un recul de la moyenne du QI, une qualité et hygiène de vie qui se dégradent, et bien d’autres facteurs inquiétant représentant les mots nous touchant en tant que civilisation, mais également en tant qu’individu.

Pour débuter, le vieillissement de la population peut s’expliquer de différentes manières, tout d’abord, une espérance de vie plus importante depuis un demi-siècle. Mais également un taux de fécondité en chute libre dans les pays occidentaux. Prenons quelques exemples, selon INED, aux États-Unis, le taux de fécondité dans les années 1960 était à 3,65 enfants par femme, dans les années 1980 il ne représente plus que 1,84 enfant par femme, pour être en 2023 qu’à 1,66 enfant par femme. En Europe, les chiffres sont encore plus accablants avec un taux de fécondité allant jusqu’à 1,90 en 1980, et qui n’est plus que de 1,53 en 2021. La baisse de la moyenne du coefficient intellectuelle dans les pays Occidentaux est également un problème inquiétant qui doit être pris en compte pour les prochaines décennies.

Le QI moyen en Occident en 1999 était de 114, il n’était plus que de 100 en 2013 et continue à baisser drastiquement depuis lors, montrant une réelle chute dans la capacité des occidentaux d’être les innovateurs de demain dans un monde en perpétuel changement. Cette chute s’explique entre autres par la prolifération de perturbateur endocrinien dans nos vies (élément chimique, stress, cycle de sommeil perturbé) agissant sur les différents cycles hormonaux du corps humain comme par exemple l’action de l’iode, élément essentiel au développement cérébral. Nous pouvons également parler de qualité et de l’hygiène de vie en Occident qui se dégrade d’année en année par la consommation toujours plus accrue de mal bouffe et de drogue. Tous ces éléments participent à rendre les Occidentaux malades physiquement et mentalement.

Cause de la chute :

« Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences alors qu’ils en chérissent les causes » (Jacques-Bénigne Bossuet)

Nous pourrions pleurer pendant longtemps sur les conséquences, mais attaquons-nous plutôt aux causes profondes et réelles de notre décadence. Certains incombent notre chute à la modernité, d’autre au mondialisme ou encore au capitalisme complètement devenu fou. Tant de mots pour désigner la même chose, j’attribue selon moi la responsabilité au libéralisme et à l’anthropocentrisme. Autant d’idéologies et de concepts philosophiques développé pendant le siècle des lumières. Cela a eu pour conséquence chez les Européens d’adopter un point de vue matérialiste, et à penser que l’être humain pouvait s’autodéterminer. De plus, la révolution industrielle au début du XIXe siècle n’a rien arrangé en commençant à polluer l’air et l’eau dans les villes.

La déchristianisation des pays occidentaux en soi était une condition sine qua non au début du règne de l’argent pour l’argent. Suite à la modernité, vint la post-modernité marquée en France par Mai 68 et dans le monde occidental par les mouvements hippies. Ces différents mouvements ont eux pour ligne directrice la « french theory » la théorie de la déconstruction. Cette idée de mépriser son passé et de craindre l’avenir. Avec envies de détruire tout héritage du passé, de créer des individus sans identité, sans racines, sans attaches charnelles ou sans attaches à leur communauté, uniquement guidée par leurs pulsions de consommations et soumis à leurs envies et désirs.

Avenir

Quelles sont les solutions ? Quelles seraient les décisions ou les modes de vie à prendre ? Je propose comme priorité le réenracinement. Il y a un besoin crucial que les Occidentaux se réapproprie leur terre et leur environnement pour retrouver une vision à long terme et fondé des familles loin des foyers de dégénérescences que sont les grandes métropoles. Deuxième point, se communautariser entre personnes ayant les mêmes façons de penser et de vivre pour bâtir des projets en communs, garder le contrôle sur les différents programmes des écoles où les enfants sont scolarisés pour qu’il ne soit pas soumis à des idéologies progressistes ou a d’autre programme jugé dangereux pour le développement d’un enfant. Dernièrement, s’impliquer dans les postes à responsabilité à notre échelle pour pouvoir reprendre notre destin en main.

L. Chevalier

Chroniqueur UFUR